5 juillet – Retour aux sources – le Théâtre de la Sucrière
A partir de 19h30 nous renouons avec les choralys.
Accueil du public par les choeurs de la Maison du Chant et les marches contées de Martin Prevel. Une joute vocale accompagnera apéritif et collation sur l’esplanade avec Babelika dirigé par Florence Boué-Croisy et Robert Nageli, l’atelier « Chants séfarades » dirigé par Déborah Nabet, « Chants hispaniques » dirigé par Sylvie Aniorte Paz, « Injabulo », dirigé par Déborah Bookbinder, « Chants afro-caribéens » dirigé par Alex Satger.
Dès la tombée de la nuit : carte blanche à Alain Aubin
Nous avons imaginé avec Alain Aubin de rejouer AOIDE, oratorio laïc écrit pour la soirée d’ouverture de l’année Capitale Européenne de la Culture, comme une seconde vague en milieu d’année. C’est une version plus longue et agrémentée qui est proposée dans ce cadre exceptionnel qu’est le Théâtre de la Sucrière
L’Oratorio existant sera une base, comme un socle à cette soirée à laquelle nous invitons Gino Sitson, célèbre vocaliste camerounais vivant à New-York. Gino Sitson est venu à plusieurs reprises au festival avec son quartet de jazz et seul pour la création « Vocal Deliria Extended ». Sa voix se marie parfaitement à celle d’ Alain Aubin, leur rencontre, à priori insolite, s’avère très riche et créative ; elle nous emmène dans un univers sonore enchanteur.
La « couleur » de la voix de Gino Sitson apporte une touche indispensable à ce voyage au cours duquel la sirène de Marseille dialogue avec l’Afrique. AOIDE est une manière de parler de l’émigration clandestine en d’autres termes qu’en terme de précarité.
Gino Sitson interviendra en solo dans des mélopées qui lui sont propres, en dialogue avec les choeurs, en trio avec Alain Aubin et Muriel Tomao pour un récital dont nous gardons secrètement le contenu. La direction des choeurs est orchestrée et assurée par Jacques Chalmeau.
Direction et piano : Jacques Chalmeau avec
Muriel Tomao soprano, Alain Aubin contreténor,
Gino Sitson chanteur vocaliste
Christophe Guida orgue, Magali Rubio clarinette basse,
Gilbert Mansio, Olivier Dubois trombones
Didier Schlupp, François Rieu, cors.
Choeurs : la Magalone, les Vallonnés, les Balladins de l’Estello, les Mardis, l’Académie du Chant Populaire, les Docks, les Notambules …